Robert Bogroff a eu la chance de connaître Lilian Silburn dès son enfance, son père l'avait rencontrée et du fait de leur intérêt mutuel pour la recherche intérieure, ils sympathisèrent immédiatement. Elle l’amena à la rencontre, en Inde, d’un maître soufi efficient. Celle-ci fut décisive et répondit à l'intensité de son attente. Malheureusement, il décéda quelques années plus tard. En 1967, des amis l’ayant informé que, de retour de l’Inde, Lilian Silburn organisait chez elle des réunions, Robert reprit contact avec elle et vint régulièrement la visiter dans sa maison au Vésinet. C’est auprès d’elle, dans la voie révélée par son maître qu’il trouva la réalité profonde à laquelle il aspirait : l’intériorité mystique au-delà de toute science. Il est également proche de Jacqueline Chambron qui est dépositaire des écrits non publiés de Lilian Silburn dont certains composent "L'instant mystique".